" OGB-ELLIL " Mohamed BOUZIDI L'homme qui s'opposa à sa hiérarchie, Bellahsène Bali

" OGB-ELLIL " Mohamed BOUZIDI L'homme qui s'opposa à sa hiérarchie, Bellahsène Bali

450 DA
Product Code: 9789947590195
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Autres informations

  • Auteur : Bellahsène Bali
  • Collection : Thala
  • Date de parution : 2014
  • Nombre de pages : 275

Description rapide

Novembre 1954, novembre 2009...55 années se sont écoulées depuis le déclenchement de la révolution qui aboutit en 1962 à l’indépendance du pays. 50 ans passés, et les jeunes restent ignorants de ce que furent ces longues années de lutte, de...

Description

Novembre 1954, novembre 2009...

55 années se sont écoulées depuis le déclenchement de la révolution qui aboutit en 1962 à l’indépendance du pays. 50 ans passés, et les jeunes restent ignorants de ce que furent ces longues années de lutte, de souffrance et de sacrifices, avec le cortège de hauts faits, de trahisons, de dévouement, d’erreurs, d’ambition et de forfaitures.

La révolution de novembre 1954 n’est pas une série d'images d’Epinal, et il n'est que temps de révéler certaines pages peu glorieuses que tout Algérien est en droit de connaître.

Il est temps que cesse la propagation de contre-vérités par certaines plumes partisanes et tendancieuses visant à occulter des pans entiers de notre lutte pour la libération, qui a impliqué l'ensemble du peuple algérien durant sept longues années, et a été couronnée par ce cadeau inestimable offert aux nouvelles générations : l’indépendance du pays. Acteur principal et essentiel de cette victoire, le peuple est donc en droit d’exiger toute la transparence sur l’histoire des événements qui ont jalonné son combat, sans zones d’ombre ni fausses vérités. La Révolution de novembre 1954 et les longues années de combat ont été impitoyables de part et d'autre. Mais si, d'un côté, il y avait une armée de métier, structurée, encadrée par des officiers issus d'écoles prestigieuses, expérimentée et parfaitement équipée, du côté algérien, nous étions en présence d'une armée de résistance populaire avec un encadrement composé en majeure partie d’officiers illettrés, compensant leur ignorance par un autoritarisme souvent injustifié.

En introduction à l'objet de mon récit, je citerai les paroles de l’orateur romain Cicéron : « La première loi de l’histoire est de ne rien dire de faux. La deuxième est d’oser dire ce qui est vrai ».

Laquelle citation peut être complétée par celle de Goethe affirmant :

« Ceux qui n’ont pas compris le passé sont condamnés à le revivre ».


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